Les parlementaires disposent de toute une palette de communication pour exercer leur droit à la critique.
La proposition ci-dessous en fait partie.
Pour la bonne compréhension de la chose, il faut remarquer qu’elle a été déposée par les signataires le 1er avril, mais que la présidence de l’Assemblée nationale ne l’a enregistrée que le 29.
Cela ne lui retire aucunement sa pertinence...